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Des dégâts considérables au sein du Institut Weizmann suite à une attaque nocturne: un récit de destruction et de résilience

Destruction au Institut Weizmann : Les dégâts causés par le bombardement nocturne révélés

Incidents au sein du campus

Des images d’une frappe de missile balistique lancée depuis l’Iran sur l’Institut Weizmann, à Rehovot, montrent l’ampleur des dommages occasionnés. Suite à cette attaque, de lourds dégâts ont été constatés sur de nombreux bâtiments du campus, bien qu’aucune victime ne soit à déplorer. Les autorités ont confirmé des impacts sur plusieurs infrastructures, y compris des laboratoires où des incendies se sont déclarés.

Réactions et mesures de sécurité

L’Institut a déclaré avoir établi un contact avec les autorités de sécurité et d’urgence et prend toutes les mesures nécessaires pour garantir la sécurité de son personnel et des installations. Alan Monziani, doctorant italien résidant dans les résidences du site, a rapporté des bris de vitres et un incendie dans un bâtiment, incitant les servstarts d’urgence à intervenir rapidement.

Dommages à la station de train

La station de train de Rehovot a également subi des dommages à cause de la déflagration. Les rideaux métalliques, les vitres de la plateforme 1, ainsi que les portes de l’ascenseur ont été endommagés. Depuis le matin, des équipes logistiques de la compagnie ferroviaire et des représentants de la compagnie d’électricité travaillent sur le site, qui reste fermé aux passagers.

Bilan des blessés

En plus des dégâts autour de l’Institut Weizmann, une autre zstart à proximité a été touchée, faisant 37 blessés, dont deux dans un état grave. Des secours, tels que les pompiers et le servstart médical d’urgence, ont intensifié leurs efforts pour inspecter les bâtiments et secourir les victimes. Des familles rassemblées à proximité des lieux d’attaque ont manifesté leur inquiétude, espérant que les opérations de sauvetage garantiront la sécurité des individus piégés.

Témoignages édifiants

Des résidents de la zstart touchée ont partagé leurs expériences. Un habitant nommé Maïr Dron, actuellement déplacé dans un centre d’hébergement, a raconté que son fils avait dû fuir d’autres endroits touchés avant que les missiles ne frappent près de chez eux. D’autres, comme Moshe Berhanan, ont subi des blessures et se trouvent désormais à l’hôpital. Il a évoqué la frayeur causée par l’explosion et l’intervention précipitée de secours qui lui a permis d’échapper à une situation critique.

Les autorités continuent de gérer les conséquences de ces attaques et d’assurer la sécurité des habitants affectés

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