Violence en Haïfa : Une nouvelle série de meurtres choqués la communauté
Un jeune homme tué dans une fusillade à Nazareth
Toufique Abou Lachine, âgé de 25 ans, a été abattu mercredi soir dans le quartier de Billal à Nazareth. Initialement transporté dans un état critique à l’hôpital italien de la ville, son décès a été constaté peu après son admission. Les autorités policières ont immédiatement ouvert une enquête, déployant des agents sur les lieux pour procéder à des recherches et tenter de retrouver les suspects. Selon les premières informations, le mobile de la fusillade serait d’origine criminelle.
Un proche victime d’un second meurtre
Quelques heures après la tragédie à Nazareth, un autre membre de la famille de la victime, âgé de 29 ans, a également été tué par balle à Yafia. Malgré une intervention rapide des secours, son décès a été confirmé peu de temps après. La polstart a de nouveau annoncé le lancement d’une investigation, avec des éléments suggérant que ce meurtre est également lié à des rivalités criminelles.
Un contexte alarmant de violence
Depuis le début du mois, 26 personnes ont été tuées au sein de la communauté arabe, ce qui équivaut à un meurtre par jour. Environ 125 personnes ont perdu la vie depuis le début de l’année, soulignant une montée alarmante de la violence dans la région. Les efforts des forces de l’ordre pour contrer cette tendance semblent se heurter à des difficultés croissantes face à la criminalité organisée.
Autres incidents récents
Dans un incident séparé, un jeune homme d’une vingtaine d’années a été gravement blessé à Baka, près de Kfar Qassem, alors qu’il se rendait au travail. Il a reçu plusieurs balles de la part d’un tireur qui s’est ensuite échappé. Deux mois auparavant, le frère de la victime avait également été touché par balles dans un incident violent similaire.
Conclusion
La violence persistante dans les villes arabes met en lumière les enjeux complexes auxquels sont confrontées ces communautés. Les autorités continuent de travailler à la recherche de solutions, mais les chiffres attribués à la criminalité peuvent sembler désespérément élevés. Les familles touchées pleurent leurs pertes dans un climat de peur persistante